Maison

MAISON PAINTURAUD FRERES

Notre Histoire

Fondée en 1804, notre propriété est reconstruite et exploitée à la fin du XIXème siècle par notre arrière-grand-père, Hippolyte Painturaud, après la grande crise du phylloxera. C’est ensuite en 1934 que Guy Painturaud, notre grand-père, décide de commercialiser ses cognacs et Pineaux des Charentes sous son propre nom, pour se distinguer des grandes maisons de négoce. Ainsi est née la Maison Painturaud Frères. Il est d’ailleurs l’un des premiers viticulteurs de l’appellation à commercialiser le Pineau des Charentes. Son fils Jacques, notre père donc, lui succède en 1973 : Jacques développe l’activité grâce à sa participation à de nombreux salons nationaux, et à la création de sa boutique à Segonzac.

Les Frères Painturaud

En 2010, Jacques passe le relais afin que Jean-Philippe, Vincent, Matthieu et Emmanuel, représentant la 4e génération de la Maison Painturaud Frères, puissent perpétuer 200 ans de savoir-faire et de traditions familiales. Painturaud, une marque, un nom, une famille connue de tous dans la région, dotée d’une véritable identité issue de ces magnifiques terres de Grande Champagne. Producteurs localement, vendeurs sur les salons à travers le pays, voyageurs au long cours, les frères Painturaud se déploient sur la planète pour faire connaître et déguster leurs trésors. Des cognacs et Pineaux des Charentes authentiques, haut de gamme, issus d’un terroir unique au monde, d’un savoir-faire séculaire, des traditions familiales héritées de père en fils qui offrent au consommateur une expérience rare au cœur de la Grande Champagne, le 1er cru du cognac.

Jean-Philippe

Jean-Philippe

Son portrait

Vincent

Vincent

Son portrait

Matthieu

Matthieu

Son portrait

Emmanuel

Emmanuel

Son portrait

Jean-Philippe

Jean-Philippe

Son portrait

Quel est ton rôle actuel au sein de la maison ?
Je m’occupe de tout ce qui lié au domaine, au vignoble ainsi que de la distillation.

Depuis combien de temps ?
J’ai commencé dans les années 90, puis en 2007, lors du départ à la retraite de mon père, je m’y suis consacré à 100%.
J’ai monté en parallèle une société de prestation de services autour du vignoble, je partage donc aujourd’hui mon temps entre les deux.

Un souvenir de jeunesse ?
J’ai passé mon enfance dans les vignes. D’abord avec les Espagnols qui venaient vendanger tous les ans. A 11 ans, j’ai commencé à conduire le tracteur et à 13 ans, à faire les premiers traitements. Pas sûr que cela soit très bien vu de nos jours… Mais la passion est venue très tôt.

Je crois savoir que tu es très impliqué dans la fête du Cognac ?
Effectivement, quand dans les années 90 la région s’est retrouvée en crise, les Jeunes Agriculteurs ont décidé de se

relever les manches et, derrière François Méry, nous avons créé la Fête du Cognac.
La première édition, en 1997 a attiré 700 personnes. Bénévole depuis le début, j’en ai assuré la présidence pendant 15 ans, et je suis encore dans l’équipe aujourd’hui.
Cette année, ce sont 20,000 personnes qui sont venues sur les quais de Cognac ! Quelle aventure et que de chemin parcouru !

Une passion hors du cognac ?
Auto, moto, 4×4… tout ce qui roule !

CNI

  • Date de naissance : 7 Octobre 1969
  • Lieu : Angoulême
  • Études : école et collège de Segonzac / lycée agricole à Barbezieux / IREO à Richemont
  • Situation familiale : en couple avec Valérie

Quel est ton rôle actuel au sein de la maison ?
Je m’occupe de tout ce qui lié au domaine, au vignoble ainsi que de la distillation.

Depuis combien de temps ?
J’ai commencé dans les années 90, puis en 2007, lors du départ à la retraite de mon père, je m’y suis consacré à 100%.
J’ai monté en parallèle une société de prestation de services autour du vignoble, je partage donc aujourd’hui mon temps entre les deux.

Un souvenir de jeunesse ?
J’ai passé mon enfance dans les vignes. D’abord avec les Espagnols qui venaient vendanger tous les ans. A 11 ans, j’ai commencé à conduire le tracteur et à 13 ans, à faire les premiers traitements. Pas sûr que cela soit très bien vu de nos jours… Mais la passion est venue très tôt.

Je crois savoir que tu es très impliqué dans la fête du Cognac ?
Effectivement, quand dans les années 90 la région s’est retrouvée en crise, les Jeunes Agriculteurs ont décidé de se

relever les manches et, derrière François Méry, nous avons créé la Fête du Cognac.
La première édition, en 1997 a attiré 700 personnes. Bénévole depuis le début, j’en ai assuré la présidence pendant 15 ans, et je suis encore dans l’équipe aujourd’hui.
Cette année, ce sont 20,000 personnes qui sont venues sur les quais de Cognac ! Quelle aventure et que de chemin parcouru !

Une passion hors du cognac ?
Auto, moto, 4×4… tout ce qui roule !

CNI

  • Date de naissance : 7 Octobre 1969
  • Lieu : Angoulême
  • Études : école et collège de Segonzac / lycée agricole à Barbezieux / IREO à Richemont
  • Situation familiale : en couple avec Valérie

Vincent

Vincent

Son portrait

Quel est ton rôle actuel au sein de la Maison ?
Ce n’est pas mon activité principale mais je suis un peu la caution technique côté œnologie / dégustation, j’accompagne mes frères sur ce plan là quand ils en ont besoin.

As-tu toujours été attiré par les vins et spiritueux ?
En fait non, petit je voulais travailler dans le domaine forestier. Et puis les années passant, je me suis retrouvé de plus en plus en contact avec le cognac (coups de main au domaine familial,

tenue du stand à Blues Passions, études en viti-œnologie…).
Bref, je suis finalement revenu dans le droit chemin familial !

Une anecdote de jeunesse ?
C’est moi qui ai fait  installer le premier ordinateur au domaine ! A cette époque là, c’était une certaine révolution…

Quelques étapes de ta vie professionnelle ?
J’ai commencé à travailler pour Pierre Ferrand avant de devenir professeur-formateur au CFA de la Gironde.

Je suis ensuite devenu directeur des châteaux Loudenne et Rouillac à Bordeaux au tournant des années 2000.
Ensuite, je suis rentré chez Océalia (ex Charentes Alliance) dont je suis aujourd’hui maître de chais et directeur de la branche viticole.
Mais je n’oublierai pas mon passage chez…Décathlon au milieu des années 90, qui fût pour moi la meilleure des écoles de vente !

Une passion hors du cognac ?
La chasse, notamment avec mon père.

CNI :

  • Date de naissance : 21 Mars 1972
  • Lieu : Angoulême
  • Études : école et collège de Segonzac / lycée agricole d’Angoulême (l’Oisellerie) / BTS viti-oeno à l’Oisellerie
  • Situation familiale : marié à Hélène, père de 2 enfants, Pierre et Lucas.

Quel est ton rôle actuel au sein de la Maison ?
Ce n’est pas mon activité principale mais je suis un peu la caution technique côté œnologie / dégustation, j’accompagne mes frères sur ce plan là quand ils en ont besoin.

As-tu toujours été attiré par les vins et spiritueux ?
En fait non, petit je voulais travailler dans le domaine forestier. Et puis les années passant, je me suis retrouvé de plus en plus en contact avec le cognac (coups de main au domaine familial, tenue du stand à Blues Passions, études en viti-œnologie…).
Bref, je suis finalement revenu dans le droit chemin familial !

Une anecdote de jeunesse ?
C’est moi qui ai fait  installer le premier ordinateur au domaine ! A cette époque là, c’était une certaine révolution…

Quelques étapes de ta vie professionnelle ?
J’ai commencé à travailler pour Pierre Ferrand avant de devenir professeur-formateur au CFA de la Gironde.

Je suis ensuite devenu directeur des châteaux Loudenne et Rouillac à Bordeaux au tournant des années 2000.
Ensuite, je suis rentré chez Océalia (ex Charentes Alliance) dont je suis aujourd’hui maître de chais et directeur de la branche viticole.
Mais je n’oublierai pas mon passage chez…Décathlon au milieu des années 90, qui fût pour moi la meilleure des écoles de vente !

Une passion hors du cognac ?
La chasse, notamment avec mon père.

CNI :

  • Date de naissance : 21 Mars 1972
  • Lieu : Angoulême
  • Études : école et collège de Segonzac / lycée agricole d’Angoulême (l’Oisellerie) / BTS viti-oeno à l’Oisellerie
  • Situation familiale : marié à Hélène, père de 2 enfants, Pierre et Lucas.

Matthieu

Matthieu

Son portrait

Quel est ton rôle actuel au sein de la Maison ?
Comme Vincent, ce n’est pas mon activité principale mais j’accompagne mes frères dans nos réflexions stratégiques ainsi que dans la partie plus commerciale et marketing. A la fois parce que c’est mon métier actuel, et car ma compagne travaille à Paris dans les vins et spiritueux.

Des souvenirs de jeunesse ?
Oui plein, mes grands-parents au magasin, les parties de fléchettes avec mon père l’hiver dans la distillerie, les espagnols qui venaient vivre chez

mes grands-parents pendant les vendanges, la presse dans le jardin, le jus de raisin que l’on buvait en cachette…
Ce qui était super c’est que l’on nous enseignait la distillation à l’école et que l’on pouvait la voir en pratique en rentrant à la maison.
Par contre, je me souviens aussi de tirer les bois l’hiver (ramasser les bois morts de la saison précédente) ou du relevage l’été (palissage), ça c’était moins drôle…
Et plus tard, la grande époque du Cognac Tonic entre le festival du film

policier, Blues Passions, la Fête du Cognac… On était les premiers ambassadeurs de notre produit !

Et depuis, ta vie professionnelle ?
Surtout parisienne, d’abord chez Chevron Texaco au marketing, puis chez Groupama depuis 2003, d’abord au marketing puis aujourd’hui à l’export.

Une passion hors du Cognac ?
Les voyages (Espagne, Argentine, Cuba, Europe, Maroc, Madagascar, Antilles et beaucoup d’autres à venir j’espère).

CNI :

  • Date de naissance : 24 Avril 1977
  • Lieu : Cognac
  • Études : école et collège de Segonzac / lycée à Cognac / IUT Tech de Co à Bordeaux / IUP Commerce et Vente à La Rochelle / DESS Commerce International à Lille
  • Situation familiale : vit avec Caroline depuis 2003, père de 2 enfants, Paul et Marin.

Quel est ton rôle actuel au sein de la Maison ?
Comme Vincent, ce n’est pas mon activité principale mais j’accompagne mes frères dans nos réflexions stratégiques ainsi que dans la partie plus commerciale et marketing. A la fois parce que c’est mon métier actuel, et car ma compagne travaille à Paris dans les vins et spiritueux.

Des souvenirs de jeunesse ?
Oui plein, mes grands-parents au magasin, les parties de fléchettes avec mon père l’hiver dans la distillerie, les espagnols qui venaient vivre chez mes grands-parents pendant les vendanges, la presse dans le jardin, le jus de raisin que l’on buvait en cachette…
Ce qui était super c’est que l’on nous enseignait la distillation à l’école et que l’on pouvait la voir en pratique en rentrant à la maison. Par contre, je me souviens aussi de tirer les bois l’hiver (ramasser les bois morts de la saison précédente) ou du relevage l’été (palissage), ça c’était moins drôle…

Et plus tard, la grande époque du Cognac Tonic entre le festival du film policier, Blues Passions, la Fête du Cognac… On était les premiers ambassadeurs de notre produit !

Et depuis, ta vie professionnelle ?
Surtout parisienne, d’abord chez Chevron Texaco au marketing, puis chez Groupama depuis 2003, d’abord au marketing puis aujourd’hui à l’export.

Une passion hors du Cognac ?
Les voyages (Espagne, Argentine, Cuba, Europe, Maroc, Madagascar, Antilles et beaucoup d’autres à venir j’espère).

CNI :

  • Date de naissance : 24 Avril 1977
  • Lieu : Cognac
  • Études : école et collège de Segonzac / lycée à Cognac / IUT Tech de Co à Bordeaux / IUP Commerce et Vente à La Rochelle / DESS Commerce International à Lille
  • Situation familiale : vit avec Caroline depuis 2003, père de 2 enfants, Paul et Marin.

Emmanuel

Emmanuel

Son portrait

Quel est ton rôle actuel au sein de la maison ?
Je m’occupe de toute l’activité négoce : production (mise en bouteille, travail de chai et assemblage des cognacs), packaging, communication, administratif, et enfin commercial (vente à la boutique, salons, réception, déplacements en France et à l’étranger…).

Depuis combien de temps ?
Je suis revenu en 2010, d’abord sur la partie commerciale puis sur mon rôle actuel.

Des souvenirs de jeunesse ?
Une quantité astronomique, pas les vendangeurs espagnols pour moi car on était passé aux vendanges mécaniques. Je me souviens justement des tours sur

la machine avec Jean-Philippe puis des raisins qui tombaient dans la réception à vendange (dont je m’approchais régulièrement un peu trop près selon mes parents).
Je me souviens aussi des animations dans les Centre Leclerc de la région avec Jean-Philippe et les Jeunes Agriculteurs. Et j’ai aussi aidé mes parents à tenir le stand à Blues Passions pendant 5-6 ans, c’était devenu mon rendez-vous de l’été, avant que ce ne soit aujourd’hui la Fête du Cognac.
Je me souviens aussi des weekends au ski à deux avec mon père à l’issue de la distillation (la récompense !) et enfin et surtout de nos innombrables séjours dans les Landes en famille, c’était la liberté totale !

As-tu toujours travaillé au domaine familial ?
Non, j’ai vendu du vin pour la Maison des Maines à l’Ile de Ré en saison, caviste en Nouvelle-Zélande pendant plusieurs mois, j’ai été assureur pendant un an et j’ai surtout été commercial CHR dans les vins de Bordeaux pendant plusieurs années.

Un centre d’intérêt hors du cognac ?
La musique, je joue de la batterie, j’ai monté mon premier groupe à 17 ans et j’en suis à mon troisième aujourd’hui. J’ai même fait un stage dans le négoce d’instruments de musique pendant mes études !

CNI :

  • Date de naissance : 7 Mars 1982
  • Lieu : Cognac
  • Études : école et collège de Segonzac / Lycée à Cognac / Université de La Rochelle puis Master 2 LEA Affaires et négociations internationales à Lille.
  • Situation familiale : en couple avec Laurie, un fils, Ernest

Quel est ton rôle actuel au sein de la maison ?
Je m’occupe de toute l’activité négoce : production (mise en bouteille, travail de chai et assemblage des cognacs), packaging, communication, administratif, et enfin commercial (vente à la boutique, salons, réception, déplacements en France et à l’étranger…).

Depuis combien de temps ?
Je suis revenu en 2010, d’abord sur la partie commerciale puis sur mon rôle actuel.

Des souvenirs de jeunesse ?
Une quantité astronomique, pas les vendangeurs espagnols pour moi car on était passé aux vendanges mécaniques. Je me souviens justement des tours sur la machine avec Jean-Philippe puis des raisins qui tombaient dans la réception à vendange (dont je m’approchais régulièrement un peu trop près selon mes parents).
Je me souviens aussi des animations dans les Centre Leclerc de la région avec Jean-Philippe et les Jeunes Agriculteurs. Et j’ai aussi aidé mes parents à tenir le stand à Blues Passions pendant 5-6 ans, c’était devenu mon rendez-vous de l’été, avant que ce ne soit aujourd’hui la Fête du Cognac.
Je me souviens aussi des weekends au ski à deux avec mon père à l’issue de la distillation (la récompense !) et enfin et surtout de nos innombrables séjours dans les Landes en famille, c’était la liberté totale !

As-tu toujours travaillé au domaine familial ?
Non, j’ai vendu du vin pour la Maison des Maines à l’Ile de Ré en saison, caviste en Nouvelle-Zélande pendant plusieurs mois, j’ai été assureur pendant un an et j’ai surtout été commercial CHR dans les vins de Bordeaux pendant plusieurs années.

Un centre d’intérêt hors du cognac ?
La musique, je joue de la batterie, j’ai monté mon premier groupe à 17 ans et j’en suis à mon troisième aujourd’hui. J’ai même fait un stage dans le négoce d’instruments de musique pendant mes études !

CNI :

  • Date de naissance : 7 Mars 1982
  • Lieu : Cognac
  • Études : école et collège de Segonzac / Lycée à Cognac / Université de La Rochelle puis Master 2 LEA Affaires et négociations internationales à Lille.
  • Situation familiale : en couple avec Laurie, un fils, Ernest

Notre Savoir Faire

Notre vignoble (40 hectares) se situe en plein cœur de la Grande Champagne, 1er Cru de l’appellation Cognac. C’est sur ce terroir unique (coteaux argilo-calcaires) que nous produisons des eaux-de-vie d’une rare finesse, capables d’être vieillies en fûts de chêne pendant des décennies. Très soucieux de notre environnement, nous pratiquons un modèle de culture raisonnée depuis plus de 20 ans et avons obtenu en 2017 le label HVE (Haute Valeur Environnementale) de niveau 3, le niveau le plus élevé.Logo HVE (Haute Valeur Environnementale)

Nous possédons notre propre alambic pour l’élaboration de nos-eaux-de vie. Ce dernier, appelé alambic charentais, est propre à la fabrication du cognac et est composé entièrement de cuivre. Notre pratique de distillation sur l’appellation est dite à « repasse » (double distillation).

Sur le domaine se trouvent aussi nos chais de vieillissement où l’eau-de-vie, une fois sortie de l’alambic, sera élevée pendant de longues années (de 5 ans jusqu’à 80 ans et plus). Une fois cette élevage terminé, nous réalisons des assemblages (alliage de différents cognac) afin d’obtenir une qualité précise, une harmonie. Un travail d’orfèvre qui permettra à chaque consommateur de reconnaître et d’apprécier le Cognac de son choix. Le savoir-faire de l’assemblage est transmis de père en fils depuis quatre générations dans notre maison.

Nous sommes également producteurs de pineau des Charentes, alliage subtil de jeune cognac et de moût de raisin fraîchement pressé. Ce mutage est ensuite élevé en fûts de chêne 5 à plus de 50 ans dans nos chais centenaires.